Volumes en légèreté, couleurs, gravures et patines de ce métal ont ouvert un champ extraordinaire pour illustrer le rapport que Martin Spreng ne cesse d’approfondir entre le brut et le précieux, afin de magnifier la beauté de la nature réinventée.
Le travail sur le titane évoque paysages, roseaux ou fagots de bois, et les matières plus précieuses en jaillissent ou le parsèment, le tout créant une nature insolite et poétique, la naissance d’une vie belle et fragile.